But "the enchanted eyes of nostalgia" (Nabokov on Gogol) are carrying me far from that pledge to write down only those memories which might illuminate his novels.
Ross Wetzsteon in TriQuaterly number seventeen, winter 1970, p.245


Deux ans plus tôt, c'était Feu pâle, le nec plus ultra de la littéralité; cinq ans plus tard c'était Ada, la summa nabokoviana, véritable machine à engendrer de la nostalgie, mais où celle-ci est si bien maîtrisée, «dramatisée», avec cet humour à la fois malicieux et savant, voir érudit —marque la plus distinctive de l'auteur— qui évite parfaitement le travers dans lequel tombe trop souvent ce sentiment: le débordement.
Michel Gresset dans l'introduction du n°99 de L'Arc de 1985 consacré à Nabokov (réédition du n° de 1964)