Je commence La Tour de Babil. Page 11 se trouve une impressionnante liste de références en note de bas de page.

2. Dans Poétique, n° 11, Tz. Todorov propose un classement où viendraient s'inscrire les théories linguistiques de ceux que nous étudierons ici du point de vue de la logique de leur délire : étiologie de leur sémiologie. Outre cet essai de classement linguistique proposé par Todorov sous le titre «Le sens des sons», on trouvera chez J.Cl. Lebensztejn, dans un livre intitulé La fourche, Gallimard, 1972, un complément utile à toute étude sur la «logophilie», sous la forme d'une exploration exhaustive de la combinatoire permettant les permutations anagrammatiques. L'article de Ch. Delacampagne, «L'écriture en folie», Poétique n°18, aborde également certains des problèmes que nous étudions ici. Quant au livre de Jean Roudaut, Poètes et grammairiens au XVIIIe siècle, Gallimard, 1971, il constitue une référence indispensable à toute discussion sur le paragrammatisme, de Court de Gébelin à l'OU.LI.PO. La série d'études publiée par G. Genette dans Poétique, nos 11, 13 et 15 sous le titre de «Avatars du Cratylisme», est une importante source d'information, bien que Genette ait limité son étude à une analyse strictement linguistique des théories de De Brosses, Court de Gébelin et Nodier. Etudes reprises dans le volume intitulé Mimologiques, Seuil, 1976. Les travaux de Julia Kristeva sur Roussel, Mallarmé et le paragrammatisme en général, parus dans Semêiotikê, Seuil, 1969, et La Révolution du langage poétique, Seuil, 1973, doivent également être mentionnés, pour le lien qu'ils établissent entre logophilie et modernité.»