«Princesse, je...
D'abord, comment allez-vous, euh... ça va, moi aussi, ça va bien...
J'ai... vu cette fleur et j'ai pensé à vous parce qu'elle est jolie et... moi c'est vrai je n'aime pas beaucoup ce qui est joli mais je me suis dit que vous, vous l'aimeriez parce que vous, vous êtes jolie...
Mais je vous aime bien quand même, hein, c'est que je...
Ahhh, que c'est difficile...!»

J'adore ce passage de Shreck (I). Son air piteux, son "Ahhh, que c'est difficile". Je pense souvent, lors de malentendus, de gaffes, d'impairs, alors qu'il n'y avait que de la bonne volonté de part et d'autre : "Ahhh, que c'est difficile".