O. : Donc c'est une planète où il y a un virus qui te transforme en zombie zaft. La seule façon de ne pas être malade, c'est de boire, dès la naissance. Donc tu as le choix entre mourir de cirrhose ou devenir un zombie. Et quand tu es un zombie, tu as envie de viande, et c'est dur parce qu'il n'y a plus de vaches...
C. : Et il y a les métis, des croisements entre les zombies et les vivants. Ce sont des loups-garous, donc évidemment à la pleine lune...
O. : il y a des problèmes. Mais heureusement le héros a une super-Cadillac avec un super-auto-radio qui permet d'écouter Led Zepellin et d'assister à ses concerts à Londres en remontant le temps...
C. : oui, mais quand même, il faut dire que le gros problème du héros, c'est de baiser, il ne pense qu'à ça...
O. : oui, il est complètement obsédé!
Moi, faisant mine d'être choquée : Et tu as prêté ça à C.?
O., dégagé : Ben je me suis dit qu'il n'était pas trop boutonneux.
Moi, mi-pensive : Hum. Tu sais je ne lis plus trop ce genre de truc, je suis passée à la vraie littérature...
O., souriant : Oui, je devrais peut-être essayer la vraie littérature.

etc.

PS : c'était l'anniversaire de Manu Dibango, dans une sorte de Buffalo Grill local le long de la N.19, quelque chose comme l'adaptation française d'un motel américain.

PPS : Pour ceux qui veulent tester le livre, il s'agit de Le Temps du Twist, de Joël Houssin.