Certains historiens modernes croient pourtant que Britannicus est bien mort de maladie (ce qui, soyons juste, à bien une chance sur dix ou sur cent d'être vrai), et l'un d'eux a même publié une lettre de son médecin. Quand la Faculté a parlé, il faut s'incliner. Mais ma femme, elle-même médecin, a bien voulu me faire un certificat selon lequel elle aurait refusé le permis d'inhumer Britannicus.

Paul Veyne, Sénèque, p.285