L'inconvénient de ce genre de colloque, c'est qu'on contemple son blog en se demandant à quoi bon. On hésite à fermer la porte doucement pour ne réveiller personne et prendre (enfin) un livre pour enfin lire d'un peu près.

Bon.

Je partageais ma chambre avec Elisabeth, metteur en page de la revue Formules. A partir de son blog, vous trouverez ses poèmes (elle a tout de même réussi à se faire mettre à la porte (à sa grande joie) en écrivant des "sonnets de bureau" (par exemple) (la contrainte est d'écrire les quatrains le matin, les tercets l'après-midi (nous avons eu droit à une lecture éblouissante, en fait, la poésie nécessite des techniques théâtrales) (c'est une contrainte temporelle, est-ce une contrainte oulipienne?)))