Oulipo jeudi soir. Queval et l'alexandrin de longueur variable.

Avouons que cette séance ne m'aurait été d'aucune utilité si Elisabeth n'avait expliqué:
«Tout l'art des alexandrins de longueur variable est de jouer sur les diérèses et les synérèses: Un té èr a i èn traverse la nu-it.»

Et de douze. C'est tout simple, en fait.