Soirée avec Marie Ndiaye et Jean-Yves Cendrey qui va commencer sa journée de travail quand nous nous quittons vers quatre heures du matin. Lui ai dit combien ces rythmes de travail romantiques qu'adoptent beaucoup de pensionnaire ici me troublent, me culpabilisent et rendent sans grandeur mes horaires de bureaucrate.

Gérard Pesson, Cran d'arrêt du beau temps, p.11