On rencontre ici les auteurs des livres qu'on est en train de lire et ils peuvent demander des comptes. Si peu avancé celui de Patrick Erouart que j'essaie de l'éviter dans les allées du jardin, pour ne pas devoir le lui avouer, puisqu'il est légitimement impatient de savoir ce qu' on en pense.

Gérard Pesson, Cran d'arrêt du beau temps, p.17