Il est près de deux heures lorsque Malraux arrive enfin. […] (Tout le monde, à Verrières, l'appelle «le ministre» ou M. le Ministre, selon que l'on est de «la famille» ou que l'on est à son service.) (Et même «Tonton Ministre», me dit Corinne de Vilmorin.)

Claude Mauriac, Et comme l'espérance est violente, p.84 (23 février 1971)