Désespérant de résoudre ces questions, je les laisse en suspens. Naturellement, le lecteur perspicace a déjà deviné que tel était mon but dès le début, et il m'en veut de perdre un temps précieux en paroles inutiles. […] Voilà ma préface finie. Je conviens qu'elle est superflue; mais, puisqu'elle est écrite, gardons-la.
Et maintenant commençons.
L'auteur.
Dostoïevski, les frères Karamazov, Pléiade 1952, préface p.2