Scholem se montre soucieux, à plusieurs reprises dans la correspondance, d'une communication orale dans laquelle seule une compréhension pourrait naître entre eux. Strauss semble plus «confiant» dans la puissance ambiguë de l'écriture, ou dans la puissance de l'écriture ambiguë.

Cabale et philosophie, note p.XIII de l'introduction d'Olivier Seyden