Ce panorama d'oasis est en fait monté sur des échasses par dessus la voie rapide qui paraît ici une erreur, ou plutôt une niche de l'ingénieur du son qui aurait envoyé sur le troisième tableau — " Crépuscule à Biskra" — la bande sonore d'un échangeur d'autoroute.

Gérard Pesson, ''Cran d'arrêt du beau temps'', p.17