Acheté

  • le petit livre rouge de Mao (Ecrits politiques de Mao Tse-Tung (Est-ce bien raisonnable à la kermesse paroissiale?)). Livre mythique de ma jeunesse, j'espère que je trouverai le temps de le lire. La première page est datée de 1928, la dernière de 1949 : cela ressemble fort à un journal de guerre. Les caractère sont si petits qu'il me faudra une loupe.
  • L'Idiot dans l'édition du livre de poche de 1963. J'ai vérifié avec les deux volumes de la collection Folio empruntés à un ami: à trente ans d'écart, c'est la même traduction. Pensée pour Barthes qui voulait qu'une traduction soit revue régulièrement (ce qui me fait dire pour ma part qu'il est sans doute plus facile à un Français de lire Shakespeare en français qu'à un Anglais de le lire en anglais);
  • Lolita dans l'édition du livre de poche de 1959. Je suis contente d'avoir trouvé cette vieille édition (c'est le même fétichisme que celui qui m'a poussée à acheter Autant en emporte le vent dans une édition de 1938, une édition d'avant le film, donc (il faudrait que je la fasse relier, elle part en lambeaux));
  • deux Agatha Christie (dont Pension Vanilos qu'on avait déjà (j'ai cru que notre exemplaire appartenait à ma sœur, d'où l'erreur d'achat)), un Modesty Blaise (cette fois, achat volontaire d'un double, les Modesty Blaise sont difficiles à trouver et plaisants à offrir);
  • Exercices de style en collection blanche (des années 40);
  • L'Alchimiste de Coelho (je sais, je sais... c'est H. qui a insisté, par curiosité. Moi je l'ai déjà lu, à sa sortie (1995?) : un mélange de Saint-Ex et de Tahar Ben Jelloun, de mémoire, un Jonathan le goéland version saharienne);
  • Zadig et autres contes (Eh non, nous n'en avions aucun exemplaire à la maison. Cela a dû rester chez nos parents. Apparemment, H. avait éprouvé un besoin urgent de le lire il y a quelques jours et ne l'avait pas trouvé dans la bibliothèque);
  • La Tulipe noire en vieille édition de la bibliothèque verte (le genre de choses auxquelles je ne résiste pas).

J'ai noté avec surprise un nombre important de Michel Bataille. Je ne les ai pas achetés, sachant que je ne les relirais pas (ou que leur relecture me ferait honte).
Pas acheté non plus les quatorze ou seize tomes des Hommes de bonne volonté en livre de poche: impressionnant dans une bibliothèque, mais beaucoup trop volumineux pour une œuvre que je n'ai aucune intention/envie de lire.