J'ai l'air de ne pas trop savoir où je vais alors qu'on arrive à la moitié des cours (le septième et il y en aura treize). Mais je vous rassure, hier j'ai fait un plan, même si je ne suis pas sûr de le suivre.

Je voulais donc revenir à cette phrase de Saint-Loup : «Voilà comme je suis!», opinion tranchée et définitive.
On se souvient du contexte, Saint-Loup avait dit à Bloch que le héros ne l'aimait pas, et il était en train de l'expliquer au héros d'un air satisfait.

Je voulais revenir à cette phrase pour deux raisons. D'une part j'ai trouvé une variante de cette formule suivi du même air réjoui.
Curieusement, elle concerne Bloch à propos de Saint-Loup, qu'il appelle Saint-Loup en-Bray. C'est dans Les jeunes filles en fleurs:
Tu dois être en train de traverser une jolie crise de snobisme. Dis-moi, es-tu snob? Oui, n’est-ce pas?1
Le narrateur se lance dans une longue analyse des défauts des amis et arrive à cette description :
Quant à ce dernier ami, il éprouve le besoin de répéter ou de révéler à quelqu’un ce qui peut le plus vous contrarier, est ravi de sa franchise et vous dit avec force: «Je suis comme cela.»2
On a l'impression que cette dernière phrase décrit Saint-Loup, elle présente la même ingénuité désarmante, la même mauvaise foi, la même autosatisfaction. C'est la seconde raison pour laquelle je voulais revenir à cette phrase. Je me suis demandé comment on pouvait traduire ce sentiment en anglais. — parce que l'anglais est souvent plus riche pour exprimer les sentimaux ordinaires. On se souvient du "cant" de Stendhal :
Rien n'éloigne davantage des deux grands vices anglais, le cant et la bashfulness (hypocrisie de moralité et timidité orgueilleuse et souffrante). 3
Ces deux défaut ont été illustrés à merveille par Molière: Tartuffe et Le Misanthrope.

Comment traduire cette autosatisfaction? self-satisfaction? complacency? seflf-righteouness?, c'est-à-dire auto-suffisance? Ou smug, smugness?
Smug, à l'origine, c'est la netteté. C'est la qualité de ce qui est bien tenu. Le mot a évolué pour signifier avoir un air satisfait, pour évoquer une respectabilité consciente d'elle-même. L'Oxford English Dictionnary donne pour exemple cette citation: There is probably no smugness in the world comparable to the complacent smugness of our insular ignorance.4 Il s'agit donc d'un air satisfait, d'une indifférence à l'autre, d'un manque de générosité, on songe à la philocie —l'amour de soi— dont parle Montaigne.
Se complaire outre mesure de ce qu'on est, en tomber en amour de soi indiscrète, est, à mon avis, la substance de ce vice. 5
Ce vice, c'est la présomption. Explorons-le. Le contraire, selon Montaigne, c'est l'ironie sur soi-même:
Parce que Socrate avait seul mordu à certes [sérieusement] au précepte de son Dieu — de se connaître —, et par cette étude était arrivé à se mépriser, il fut estimé du nom du surnom de Sage. Qui se connaîtra ainsi, qu'il se donne hardiment à connaître par sa bouche.6
Montaigne cherche à justifies le fait qu'il parle de lui-même: on en a le droit si on est capable de se moquer de soi.
Le défaut qui rend incapable de se moquer de soi, c'est le snobisme. Cela nous amène à la question de Bloch dans Les jeunes filles en fleurs: «Es-tu snob? Oui, n'est-ce pas.»

Chez Legrandin, le snobisme accompagne le contentement de soi. On se souvient de la première scène qui nous fit découvrir le snobisme de Legrandin: à la sortie de la messe, Legrandin ne salue pas la famille du narrateur, il ne la reconnaît pas, parce qu'il est en compagnie d'une châtelaine. Le narrateur décrit ainsi l'attitude de Legrandin:
Elle était comme toute attitude ou action où se révèle le caractère profond et caché de quelqu’un : elle ne se relie pas à ses paroles antérieures, nous ne pouvons pas la faire confirmer par le témoignage du coupable qui n’avouera pas ; nous en sommes réduits à celui de nos sens dont nous nous demandons, devant ce souvenir isolé et incohérent, s’ils n’ont pas été le jouet d’une illusion ; de sorte que de telles attitudes, les seules qui aient de l’importance, nous laissent souvent quelques doutes.7
Ce passage pourrait aussi bien s'appliquer à l'attitude de Saint-Loup que nous avons évoquée la semaine dernière: il décrit une attitude en contradiction avec tout ce qu'on savait de la personne jusque là. Il y a une double nature de Legrandin comme il y a une double nature de Saint-Loup. Cette double nature est révélé par le langage du corps: il y avait «sinuosité» dans le visage de Saint-Loup, de même c'est le corps de Legrandin qui va révéler son snobisme.%%% Bien que les parents commencent à être conscient du snobisme de Legrandin, il laisse aller le narrateur à un dîner chez celui-ci. Le narrateur demande alors à Legrandin s'il connaît les Guermantes. Celui-ci répond non et se lance dans une longue explication:
Et si je demandais: «Connaissez-vous les Guermantes?», Legrandin le causeur répondait: «Non, je n’ai jamais voulu les connaître.» Malheureusement il ne le répondait qu’en second, car un autre Legrandin qu’il cachait soigneusement au fond de lui, qu’il ne montrait pas, parce que ce Legrandin-là savait sur le nôtre, sur son snobisme, des histoires compromettantes, un autre Legrandin avait déjà répondu par la blessure du regard, par le rictus de la bouche, par la gravité excessive du ton de la réponse, par les mille flèches dont notre Legrandin s’était trouvé en un instant lardé et alangui, comme un saint Sébastien du snobisme: «Hélas! que vous me faites mal, non je ne connais pas les Guermantes, ne réveillez pas la grande douleur de ma vie.»8
[Remous dans l'assistance: visiblement, le séminaire de Sophie Duval a laissé des souvenirs.]
On remarque la gravité du regard et l'analyse du langage du corps. Il s'agit «d'hypocrisie de moralité», de bashfulness. Mais du point de vue de Legrandin, ce «je n'ai jamais voulu les connaître» est-il un mensonge ou Legrandin est-il dupe de lui-même?
Et certes cela ne veut pas dire que M. Legrandin ne fût pas sincère quand il tonnait contre les snobs. Il ne pouvait pas savoir, au moins par lui-même, qu’il le fût, puisque nous ne connaissons jamais que les passions des autres, et que ce que nous arrivons à savoir des nôtres, ce n’est que d’eux que nous avons pu l’apprendre. 9
En règle générale, nous ne connaissons jamais que les passions des autres. Nous ne nous voyons pas. On se souvient de Sartre dans L'Être et le Néant et de l'impossible coïncidence entre ce que je suis pour autrui et ce que je suis à moi-même. Proust met en scène cette non-coïncidence, à quelques exceptions près que l'on verra dans une prochaine séance. Le «Connais-toi toi-même» se transforme en jeu de dupes, qu'on pourrait traduire par self deception. On a également parlé en psychanalyse «d'auto-mythification».
Jamais le snobisme de Legrandin ne lui conseillait d’aller voir souvent une duchesse. Il chargeait l’imagination de Legrandin de lui faire apparaître cette duchesse comme parée de toutes les grâces. Legrandin se rapprochait de la duchesse, s’estimant de céder à cet attrait de l’esprit et de la vertu qu’ignorent les infâmes snobs.10
Le snob est capable de condamner le snobisme des autres mais il ne voit pas le sien. L'«Es-tu snob?» de Bloch est suivi d'une longue analyse des divers comportements possibles des amis, analyse qui montre que chacun est aveugle à ses propres défauts.

Le père du héros taquine Legrandin dont il connaît le défaut en lui demandant s'il ne connaît personne à Balbec où son fils doit aller passer quelques temps. La question est une torture pour Legrandin, qui ne sait comment y échapper et qui finit par répondre:
Dans un dernier effort désespéré, le regard souriant de Legrandin atteignit son maximum de tendresse, de vague, de sincérité et de distraction, mais, pensant sans doute qu’il n’y avait plus qu’à répondre, il nous dit:
— J’ai des amis partout où il y a des groupes d’arbres blessés, mais non vaincus, qui se sont rapprochés pour implorer ensemble avec une obstination pathétique un ciel inclément qui n’a pas pitié d’eux.11
Et comme deux précautions valent mieux qu'une, il ajoute aussitôt:
Mais les choses elles-mêmes y semblent des personnes, des personnes rares, d’une essence délicate et que la vie aurait déçues. Parfois c’est un castel que vous rencontrez sur la falaise, au bord du chemin où il s’est arrêté pour confronter son chagrin au soir encore rose où monte la lune d’or et dont les barques qui rentrent en striant l’eau diaprée hissent à leurs mâts la flamme et portent les couleurs ; parfois c’est une simple maison solitaire, plutôt laide, l’air timide mais romanesque, qui cache à tous les yeux quelque secret impérissable de bonheur et de désenchantement. Ce pays sans vérité, ajouta-t-il avec une délicatesse machiavélique, ce pays de pure fiction est d’une mauvaise lecture pour un enfant, et ce n’est certes pas lui que je choisirais et recommanderais pour mon petit ami déjà si enclin à la tristesse, pour son cœur prédisposé.12
J'ai des amis partout, mais vaudrait mieux ne pas envoyer ce garçon à Balbec, je parle dans son intérêt.
Le père continuera à torturer Legrandin en lui demandant l'adresse de sa sœur.

Mais comme tout rusé, le menteur oublie qu'il a menti. Le snob est condamné à mentir et finit par croire vrai ses mensonges. On se souvient de la phrase dans La prisonnière:
En matière de crime, là où il y a danger pour le coupable, c’est l’intérêt qui dicte les aveux. Pour les fautes sans sanction, c’est l’amour-propre.13
C'est ce que Montaigne appelle les "fautes ordinaires".
La façon dont un menteur finit par croire à ses mensonges est analysée à partir des Bloch. Pour reprendre les analyses de René Girard, on désire ce que désire les autres. Le père de Bloch joue sur les mots. Il parle des gens célèbres comme s'il les connaissait en jouant sur le sens du mot "connaître", il connaît Bergotte, il connaît Rothschild, mais il se prend si bien à son propre jeu qu'il en vient à imaginer qu'il ne leur est as lui-même inconnu:
Or, tous les gens célèbres, M. Bloch ne les connaissait que « sans les connaître », pour les avoir vus de loin au théâtre, sur les boulevards. Il s’imaginait du reste que sa propre figure, son nom, sa personnalité ne leur étaient pas inconnus et qu’en l’apercevant, ils étaient souvent obligés de retenir une furtive envie de le saluer.14
Bloch père agit de même à propos de Bergotte. Il en parle sans l'avoir lu.
C’est le miracle bienfaisant de l’amour-propre que peu de gens pouvant avoir les relations brillantes et les connaissances profondes, ceux auxquels elles font défaut se croient encore les mieux partagés parce que l’optique des gradins sociaux fait que tout rang semble le meilleur à celui qui l’occupe et qui voit moins favorisés que lui, mal lotis, à plaindre, les plus grands qu’il nomme et calomnie sans les connaître, juge et dédaigne sans les comprendre. Même dans les cas où la multiplication des faibles avantages personnels par l’amour-propre ne suffirait pas à assurer à chacun la dose de bonheur, supérieure à celle accordée aux autres, qui lui est nécessaire, l’envie est là pour combler la différence. Il est vrai que si l’envie s’exprime en phrases dédaigneuses, il faut traduire : « Je ne veux pas le connaître » par « je ne peux pas le connaître ».
L'amour-propre permet de penser «je les connais», mais lorsqu'on est acculé, l'envie permet de traduire en y croyant «je ne peux pas le connaître» par «je ne veux pas le connaître». C'est ce que fait Legrandin:
Il est vrai que si l’envie s’exprime en phrases dédaigneuses, il faut traduire : « Je ne veux pas le connaître » par « je ne peux pas le connaître ». C’est le sens intellectuel. Mais le sens passionné est bien: «Je ne veux pas le connaître.»
Le snob est dupe de sa passion.
On sait que cela n’est pas vrai mais on ne le dit pas cependant par simple artifice, on le dit parce qu’on éprouve ainsi, et cela suffit pour supprimer la distance, c’est-à-dire pour le bonheur.15
Le snob, l'envieux, est dupe de son mensonge. Proust fait l'analyse complexe de la double vérité du snob. Malgré la dureté du «je ne peux pas», le snob continue à croire «je ne veux pas». L'imagination console la raison.
L’égocentrisme permettant de la sorte à chaque humain de voir l’univers étagé au-dessous de lui qui est roi, M. Bloch se donnait le luxe d’en être un impitoyable quand le matin en prenant son chocolat, voyant la signature de Bergotte au bas d’un article dans le journal à peine entr’ouvert, il lui accordait dédaigneusement une audience écourtée, prononçait sa sentence, et s’octroyait le confortable plaisir de répéter entre chaque gorgée du breuvage bouillant: «Ce Bergotte est devenu illisible. Ce que cet animal-là peut être embêtant. C’est à se désabonner. Comme c’est emberlificoté, quelle tartine!» Et il reprenait une beurrée.16
Cela nous rappelle une autre scène, celle de Mme Verdurin trempant son croissant tandis qu'elle lit le naufrage du ''Lusitania''.17
Avec Bloch père, nous assistons à une scène de mythomanie. Il se prend pour un acteur du grand monde. Il lit et rejette Bergotte. Legrandin comme Bloch sont imbus de leur importance illusoire. Bloch souffre de snobisme et Saint-loup de smugness, ce que Stendhal aurait appelé de la vanité. Ces troubles rendent incapables d'ironie sur soi. Ils interdisent l'auto-dérision que Montaigne reconnaissait chez Socrate, à moins que le combre de l'auto-satisfaction soit la fausse modestie.

On se souvient que Jules Renard disait: «La modestie est toujours de la fausse modestie.»18
Dans La Recherche, modestie et contentement de soi vont de pair. Par exemple l'oncle Adolphe:
Le « petit hôtel » était assurément confortable (mon oncle y introduisant toutes les inventions de l’époque). Mais il n’avait rien d’extraordinaire. Seul mon oncle, tout en disant, avec une modestie fausse, mon petit taudis, était persuadé, ou en tout cas avait inculqué à son valet de chambre, à la femme de celui-ci, au cocher, à la cuisinière l’idée que rien n’existait à Paris qui, pour le confort, le luxe et l’agrément, fût comparable au petit hôtel.19
(Le valet de chambre est le père de Morel).
La modestie est presque toujours fausse. Quand elle est réelle, car cela arrive parfois, alors elle est inconsciente, comme par exemple chez Octave-dans-les-choux, élégant, plein de grâce et charmant, «avec une infaillibilité orgueilleuse qui atteignait à la silencieuse modestie du savant»20 Rien n'est exhibé, Octave est un dandy naturel. Il fait preuve de sprezzatura, l'art avec lui rejoint la nature.

Concernant les autres personnages, un doute demeure toujours. Françoise par exemple fait preuve d'une modestie ambiguë. Lors de l'épisode du bœuf froid, par exemple, lorsque M. Norpois fait des compliments sur sa cuisine, le visage de Françoise est empreint à la fois de satisfaction et de modestie: est-ce vraiment compatible?
«L’Ambassadeur, lui dit ma mère, assure que nulle part on ne mange de bœuf froid et de soufflés comme les vôtres.» Françoise, avec un air de modestie et de rendre hommage à la vérité, l’accorda, sans être, d’ailleurs, impressionnée par le titre d’ambassadeur; […]21
La modestie de Françoise est toujours coupée d'autres sentiments.
Françoise s’approchait tous les jours de moi en me disant: «Monsieur a une mine! Vous ne vous êtes pas regardé, on dirait un mort!» Il est vrai que si j’avais eu un simple rhume, Françoise eût pris le même air funèbre. Ces déplorations tenaient plus à sa «classe» qu’à mon état de santé. Je ne démêlais pas alors si ce pessimisme était chez Françoise douloureux ou satisfait.22
Il y a toujours un doute sur le sentiment réel de Françoise.

Un autre exemple de modestie qui n'est jamais celle qui doit être, ou celle qu'on aurait attendue, nous est donné par le coiffeur de Doncières. Ce coiffeur obtient auprès du colonel une permission pour Saint-Loup.
Quant au coiffeur, qui avait l’habitude de se vanter sans cesse et, afin de le pouvoir, s’attribuait, avec une faculté de mensonge extraordinaire, des prestiges entièrement inventés, pour une fois qu’il rendit un service signalé à Saint-Loup, non seulement il n’en fit pas sonner le mérite, mais, comme si la vanité avait besoin de mentir, et, quand il n’y a pas lieu de le faire, cède la place à la modestie, n’en reparla jamais à Robert.23
La situation est paradoxale: cet homme qui se vante des services qu'il ne rend pas ne se vante pas des services qu'il rend. C'est la conséquence d'une vanité essentielle. Ce personnage ment toujours, quand il devient inutile de mentir, il se tait.
C'est le symptôme Groucho Marx, qui n'a pas envie d'appartenir à un club qui accepterait des hommes tels que lui.
Legrandin applique la même logique, les personnes qui le connaissent ne sont plus désirables.

Le contentement de soi semble une forme de bêtise, même pour les plus intelligents. Par exemple s'agissant de Charlus:
Enfin, lui si intelligent, s’était fait à cet égard une petite philosophie étroite (à la base de laquelle il y avait peut-être un rien des curiosités que Swann trouvait dans «la vie») expliquant tout par ces causes spéciales et où, comme chaque fois qu’on verse dans son défaut, il était non seulement au-dessous de lui-même mais exceptionnellement satisfait de lui. 24
Il existe chez Charlus une forme de bêtise qui apparaît lorsqu'il voit le monde du point de vue de son défaut, l'inversion.

Terminons par une véritable forme d'ironie, une forme sublime de contentement de soi. Il s'agit de la grand-mère:
elle était si humble de cœur et si douce que sa tendresse pour les autres et le peu de cas qu’elle faisait de sa propre personne et de ses souffrances, se conciliaient dans son regard en un sourire où, contrairement à ce qu’on voit dans le visage de beaucoup d’humains, il n’y avait d’ironie que pour elle-même, […] 25
C'est la seule capable de modestie.



1 : A l'ombre des jeunes filles en fleurs, Clarac t1, p.740
2 : Ibid., Clarac t1 p.742
3: Stendhal, De l'amour, livre II, ch. 46
4: 1883 Contemp. Rev. Oct. 1883
5: Michel de Montaigne, Les Essais, Arléa (2002) édition établie et présentée par Claude Pinganaud, p.281 - à la fin du chapitre 6 du livre II
6 : Ibid, dernières lignes du chapitre 6 du livre II
7 : Du côté de chez Swann, Clarac t1, p.126
8: Ibid., p.128
9 : Ibid, p.129
10 : Ibid, p.129
11 : Ibid., p.131
12 : Ibid., p.132
13 : La Prisonnière, Clarac t3, p.239
14 : À l'ombre des jeunes filles en fleurs, Clarac t1, p.769
15 : Ibid., p.770
16 : Ibid., p.771
17 : Le temps retrouvé, Clarac t3, p.772
18 : Jules Renard, Journal, 15 avril 1902
19 : Sodome et Gomorrhe, Clarac t2, p.1058
20 : À l'ombre des jeunes filles en fleurs, Clarac t1, p.878
21 : Ibid., p.484
22 : Ibid., p.499
23 : Le côté de Guermantes, Clarac t2, p.127
24 : Le Temps retrouvé, Clarac t3, p.787
25 : Du côté de chez Swann, Clarac t1, p.12